Une Histoire de Jeunes...

20 octobre, forêt de Villard de Lans

- " OOO ma divinee ma divinee Clémentinee..."

Par une nuit vaguement éclairée par la Lune, où elle était cachée parfois par des passages de nuages, les 4 jeunes qui sortèrent de la boîte de nuit le Macoumba Night, étaient sous la possession de l'alcool sauf Kevin, le conducteur un peu fragile. les autres semblaient être dans un autre monde, comme emportés par leurs ivresses. Emilie, Jean Marc et Paul ne cessaient de chanter cette chanson depuis leur sortie de cette boîte, où Paul leur avait déversé un petit souvenir en guise d'au revoir.

Kevin, le seul sobre, essayait de se concentrer sur la route. Il n'avait pas bu de cette soirée. Il ne boit pas d'alcool. Il n'a pas l'habitude de fréquenter les 3 autres comparses. Kevin est un garçon qui ne connait pas la mode, un peu seul : les personnes de la fac l'appelait "tête d'ampoule".
Il se savait pas au début pourquoi les 3 autres ivres l'avaient invités en boîte. Maintenant il savait....
cette nuit là était leur nuit, mais aussi leur derniers nuit.....

Soudain, Kevin vit un gros animal qui traversa la route. D'un geste, il fit basculer la petite Fiat Punto sur la droite, et stoppa net la voiture. Les autres compagnons de route, refroidit de leurs ivresses, sétonnèrent de cet arrêt soudain :
- Eh mais qu'est ce tu fais l'éclopé ?! sexclama Jean Marc.
-j'ai....j'ai vu un aimal passé, bégueilla kevin.
- Quoi ? Tu bois même pas mais t'as deja l'état d'esprit d'un bourré ! dit d'un mesquin Paul.
- jean Marc ! Partons de là vite s'il te plait ! demandé Emilie d'un ton inquiétant.

Contre toute attente, une ombre se distingua du coin sombre de la forêt que les jeunes traversaient, et se rapprocha lentement.

- Mais qu'est ce que..... ?!


22 octobre, bureau du sous-sol de la Gendarmerie

Les pieds sur son bureau, attendant q'une affaire intéressante lui tombe du ciel, Mulder scrupta un magazine réservé à un certains public. Lorsqu'un appel le déconcentra de sa revue :

- Fox Mulder j'écoute .

-Mulder, c'est Brenda .Je vais avoir besoin de toi .
-Que se passe-t'il Brenda?
-Essayes de contacter Dana ,je n'arrive pas à la joindre ,et venez me rejoindre à Villard De Lans .
J'ai un meutre sur les bras Mulder,quelque chose d'inhabituel .
-Qu'entends -tu par inhabituel ?
-La dépouille D'un jeune homme ,en fait c'est le fils de Robert Kann , le politicien.
Son corps a été retrouvé près d'une ferme ,et ,à proximité d'étranges pentacles sont déssinés avec son sang .
-Aucun témoin ?
-Si ,une jeune fille ,Emilie Pritz .Elle est choquée et n'arrète pas de dire qu'ils vont venir la chercher ,elle aussi .
-Je te rappelle Brenda , j'ai un double appel .

"-Mulder? C'est Scully, il faut absolument que tu passes au labo. Tu te souviens de la femme retrouvée errante dans l'Ohio?
- Oui je me souviens.
- Elle vient de décéder suite à un empoisonement. J'ai interrogé ses proches et les infirmières qui l'avaient suivie, elle n'avait pratiquement rien mangé depuis 1semaine. Or, d'après ce que j'ai noté, elle a ingéré ou on lui a fait ingérer une substance que je ne connais pas. Est ce que tu pourrais me remonter les rapports de mes dernières autopsies?
- Non Scully. Fais tes bagages on part en France.
- Mais enfin Mulder, il faut trouver la cause de la mort de cette femme. Ne me dis pas que tu as encore reçu un appel d'un indic anonyme?
- Si et tu vas adorer ça!
- De quoi s'agit-il?
- Tu te souviens de Brenda?
- Comment aurais-je pu l'oublier?
- Elle vient juste de m'appeler pour me signaler un décés en France.
- Et puis je savoir en quoi cela nous concerne, Mulder? D'après ce que je sais en France aussi ils ont des enquêteurs. Enfin, réfléchis Mulder. Skinner nous a bien ordonné de ne plus quitter le territoire. Qui plus est, j'ai déjà un mort sur les bras.
- Scully, Scully. Je te montrerais le rapport que Brenda m'a faxé à l'instant. Je passe te prendre dans une demi-heure. Tiens-toi prête.
- Mulder attends! Mulder? Allo? Et ça recommence, il a raccroché."

Scully n'était pas spécialement énervée après avoir raccrochée. Elle était partenaire avec Mulder depuis de nombreuses années maintenant, et plus grand chose de sa part ne l'étonnait.
Elle était toujours étonnée de l'entrain et de la spontanéité avec laquelle il se jetait dans le travail. Son travail qui était toute sa vie.
Elle poussa un long soupir et commença à faire sa valise pour la France, puisque apparemment, l'affaire du siècle les attendait là-bas.

Il lui restait encore un peu de temps avant de s'en aller, elle décida donc d'aller prendre un bon bain. Surtout qu'avec Mulder, on ne savait jamais quand le prochain pourrait avoir lieu.
Après ce bon temps de détente, il était presque l'heure et Scully était prête. Elle était en train de penser à ce qui les attendait là-bas quand le klaxon retenti à l'extérieur. Comme elle ouvrait la porte, le téléphone se mit à sonner...

Hésitant un moment, elle se décide à prendre l'appel:
"-Allo?"
Un râle étrange au bout du téléphone. Le bruit d'un briquet qui allume une cigarette.
"-Allo?
- Agent Scully?"
La voix de l'interlocuteur est rauque.
"-Oui, c'est moi.
- Ecoutez moi bien agent Scully. Nous savons que vous et l'agent Mulder travaillez sur des dossiers que la Direction vous a défendu d'ouvrir. Si vous tenez à la survie de votre famille et à la vôtre, posez immédiatement le bagage que vous tenez et restez chez vous.
- Mais enfin, qui êtes-vous? Allo? Allo? "
Un coup de klaxon retentit à nouveau. Que faire? Quel chemin choisir?
Tenir compte des avertissements ou rejoindre Mulder qui s'impatiente?
Elle referme la porte derrière elle et s'avance dans le couloir.
Son portable sonne.
"-Agent Scully, j'écoute.
- Oui c'est moi. Qu'est ce que tu fais? Je t'attends. Notre vol est dans une heure à peine.
-J'arrive".
Elle s'avance un peu plus dans le couloir obscure et appui sur le bouton d'appel de l'ascenceur. Elle regarde son bagage... Ce n'est pas la première fois qu'elle est confrontée à des menaces. Elle s'en est toujours sortie.
Enfin arrivée en bas, elle sort de l'immeuble et se dirige vers le véhicule. De l'autre côté de la rue, au pas pressé, s'éloigne un homme vêtu de sombre, fumant une cigarette.

Scully vit alors l'homme se rapprocher se d'elle. Elle reconnu son cousin Frank. Il semblait rire en s'approchant d'elle. Aussitôt, elle comprit.
-Frank! Tu n'as pas honte? Me jouer un tour au téléphone!
-Ah, Dana, c'était plus fort que moi... Tu pars vraiment en voyage?
Il regarda le bagage de Dana. Il semblait étonna d'avoir frappé dans le mille. Dire qu'il avait dit cela au hasard...
-Je m'excuse, cousin, mais le devoir m'attend.
Elle fit un signe vers Mulder qui attendait impatiement qu'elle daigne enfin s'asseoir dans la voiture.
-Qui c'est, ce type...
Elle l'embrassa au cou et lui promit de l'appeler dès son retour, puis s'engouffra dans le véhicule.
-Il était temps... Un peu plus et je croyais que le temps de prendre ma retraite était venue!
-Mulder, n'avons-nous pas un avion à prendre? Alors dépêche-toi!
Ils prirent la route en direction de l'aéroport, prirent l'avion. Après deux heures de vol, ils atterrirent enfin à Paris...

Ils prirent un taxi en direction de l'Hotêl le plus proche du lieu du meurtre.
Le paysage français faisait sourire Mulder car non seulement il pleuvait mais le plus amusant pour lui,c'était la tête que faisait Scully en voyant le temps qu'il y avait.Il semblait même deviner se qu'elle pensait.
-T'inquiète pas!On règle cette affaire et on rentre chez nous.
-C'est pas ça qui m'inquiète!rétroqua Scully
-C'est quoi alors?
-Cette histoire me paraît pas clair du tout.
-Explique toi!
-Bien ils étaient quatre je crois?Sur les quatre,il y a une victime et un témoin.Mais sur ton dossier,il n'y a aucune référence sur les deux autres personnes!
-Cela fait partie de notre enquête ma chère Scully!
Le taxi s'arrêta devant l'hotel d'un petit village triste et vidé de toute âme.
-"La petite auberge" s'exclama Mulder.
Il y avait une femme à la récéption.Elle avait l'air intriguée à la vue des deux agent,mais devint très vite froide à leur égard.
-Vous êtes qui?demanda t-elle d'une voix roque.
-Euh...Agent Mulder et agent Scully.Nous avons réservé,répondit Mulder.
-Ah je vois,les ricains.
Puis elle se retourna pour appeller son mari qui se trouvait dans une pièce voisine:
-Louis!Les ricains sont là!

L'homme d'une soixantaine d'années approcha et n'avait pas l'air facile au premier regard. Mulder se dit que si la réputation des français étaient fondées, cela allait être compliqué...
-Qui sont ces gens, Ernestine? demanda l'aubergiste.
-T'es sourds ou quoi? Je viens de te dire que ce sont les Ricains!
Le visage de l'homme s'éclaira enfin et devint jovial. Il aurait gagné le jack pot à la loterie nationale qu'il n'aurait pas été plus content.
-Nos héros Ricains! Ah! Je me souviens de vous lors de la dernière guerre. J'étais enfant, mais je m'en souviens comme si c'était hier!
Le top plein d'enthousiasme de l'homme mit Scully sur la défensive. Pour elle, un homme qui n'était pas capable de contrôler ses émotions pouvait être capable du pire comme du meilleur.
-Louis, fit la femme aubergiste. Arrête ces histoires-là! J'en ai assez d'entendre la même rengaine. C'est toujours la même chose, avec toi!
Là, elle se tourna vers Mulder et lui dit :
-La dernière fois qu'un étranger est venu ici, il s'est pratiquement mis à genou devant lui... Pourtant, ce n'était qu'un canadien...
Et elle regarda son Louis qui souriait encore aux deux agents.
-Et toi, montre leur chambre à ces gens. Vous allez voir, elle est très jolie...
-Pardon? fit Scully. Nous avons la même chambre?
-Y a un problème? fit-elle en maugréant. Vous ronflez? Et puis, il y a deux lits dans cette chambre.
-Merci, madame, fit Mulder. Nous nous contenterons de cette chambre.
Louis prit les valises des deux agents et monta directement à l'étage.
-Excusez-moi, madame...
-Madame Patenaude.
-Madame Patenaude, connaissiez-vous Émilie Pritz?
-Émilie Pritz? Cette petite dévergondée?
-Euh...
-Bien sûr que je la connais! Elle passait son temps à traîner avec ces deux garçons dont l'un d'eux a été tué... Jean-Marc Baril et Paul Khein.
-Justement, nous venons enquêter sur ces cas. Savez-vous où sont les deux autres garçons? L'autre s'appelait Kevin... Kevin Tristi.
Elle ouvrit grand les yeux et parut horrifiée.
-Kevin? Mon petit Kevin était là...?
-Vous le connaissiez?
-Certain, c'est mon neveu!
Au même moment, le portable de Scully résonna. Madame Patenaude lui jeta un regard noir. Dana Scully parla au téléphone. En fait, elle écoutait plus qu'elle ne parlait. Puis elle raccrocha.
-Mulder, on a retrouver kevin Tristi vivant.
-Dieu du ciel, Kevin...
Mais Scully entraîna Mulder à l'extérieur pour être loin de l'aubergiste.
-Il nous faut aller à l'hôpital. On a aussi retrouvé le cadavre de Jean-Marc Baril près de Kevin Tristi.
-Bien...
-Ils ont placé le jeune Kevin dans la même chambre qu'Émilie. Ils nous attendent aussi à la morgue, dans la cave de l'hôpital. Les dépouilles de Jean-Marc Baril et Paul Khein risquent de nous surprendre, paraît-il.
Scully fit quelques pas en suivant Mulder qui se dirigeait vers une Volkswagen Golf.
-C'est quoi cette voiture...
-Je l'ai loué et l'ai fait livrée ici, sachant que nous crècherons dans cet hôtel.
-Là, tu m'étonnes Mulder. C'est la première fois que je te vois si bien organisé. Si tu étais comme ça avec ton appartement...
La voiture démarra et elle passa devant l'hôtel. Scully vit madame Patenaude dans une fenêtre, les observants.
-Cette femme ne m'aime pas... lança Dana.
-Normal, elle est jalouse...
-Jalouse? Mais de quoi?
-Bien, je crois qu'elle me trouve de son goût... Et elle croit que nous sommes ensemble.
-Pfff! Mulder!

Mulder avait toujours été mal à l'aise dans une morgue. Et puis, qu'est-ce qu'elles avaient à toutes se ressembler? Pourquoi fallait-il qu'elles soient si mornes et si froides? Il regarda le corps nu du jeune adolescent Tristi sur la table d'autopsie. Il n'osait regarder. Il leva les yeus vers Dana, de l'autre côté de la table. Elle avait accepté de seconder le docteur Paul Baillergeon, imminent spécialiste français. L'autre garçon, Jean-Marc Baril attendait son tour sur une table voisine et un drap blanc recouvrait tout son corps.
-Je ne comprends pas, fit Dana. C'est la première fois que je vois une telle chose.
-Quoi donc, fit Mulder.
Elle secoua la tête.
-Il est vide.
Mulder ne comprit pas. Le docteur Baillergeon s'épongea le front. Cette autopsie avait l'air d'avoir vidé ses batteries. Il ne comprenait rien à ce qui se passait et commençait à regretter de s'être occupé de cette affaire.
-Madame Scully... Je ne me sens pas très bien... Je vais aller me reposer dans le local à côté. Puis-je?
Elle acquiesca, trop heureuse d'être enfin seule avec Mulder.
-Mulder, ce garçon est vide!
-Que veux-tu dire? Vide comme une coquille d'oeuf?
-Il n'y a rien. Tous les organes internes ont disparu. Tous les muscles sont inexistants. Il n'y a ni nerfs, ni sang... Rien. Ce corps n'est qu'une enveloppe... qu'une coquille d'oeuf, comme tu dis.
-Dana, comment cela se peut-il? Et le cerveau?
-Absent! Et ne fais pas de blague de mauvais goût avec ça... Je te connais.
Elle contourna la table et se dirigea vers la table de l'autre victime. Sans aucune pudeur, elle souleva le drap d'un seul coup. Elle colla sa tête sur le ventre du jeune adolescent, puis tapa sur la cage thoracique avec sa main. Elle se releva aussitôt, l'air perplexe.
-Mulder. Idem pour celui-là. Il est vide lui-aussi.
Elle contempla le corps sans vraiment le voir. Elle réfléchissait.
-Comment auraient-ils pu être "vidés"? Je ne vois pas de cicatrice nulle part... fit Mulder.
-Je ne comprend pas. Les yeux ont également disparus... La langue... Tout ce qui est interne ou partiellement interne et externe.
Elle se redirigea de nouveau vers celui qui était béatement ouvert.
-Regarde l'intérieur...
-Euh... Je n'y tiens pas trop...
-J'insiste, Mulder!
Mulder s'approcha et regarda où Dana grattait à l'intérieur du corps.
-Tu vois?
-Euh... Non.
-Il n'y a rien. Aucun tissus, pas la moindre trace de liquide... Tout est sec! Un peu plus et on dirait qu'il s'agit d'une maquette de plastique!
Dana enleva finalement ses gants et les jeta au fond d'une poubelle prévue à cette fin.
-Il nous faut rencontrer la petite... remarqua Mulder.
-J'espère qu'elle aura les répondes que nous désirons... Sinon, cette enquête sera difficile! Très difficile...

Mulder tata le sotre de cadavres allongé devant lui. Il se retourna face à Scully et lui dit :

- Scully, écoute, je vais interroger Kévin. Toi il faut que tu analyses la peau de ces cadavres. Ce sont, je pense, des leurres destinés à nous les faire croire morts. Et si c'est le cas, il faudra les retrouver très vite.

- Ok, une fois l'analyse fini je t'apelle, réponda Scully.


Mulder sortit d'un pas rapide de la morgue et prena la voiture pour se diriger vers la maison d'Emilie, où Kevin essaie de digérer son traumatisme en vain.
Arrivé à la maison aux alentours de minuit, Kevin n'avait pas la force de dormir, ni personne de la maison vu le sordide massacre qui s'est passé dans la région.
Mulder toque à la porte :
- Oui ?
- Mulder, du FBI travaillant avec la gendarmerie d'ici pour cette enquête.
- Pourquoi envoie-t-on des américains ici ?
- Une ancienne collègue d'école Brenda, qui travaille à la gendarmerie d'ici à soliciter mon aide. Et je suis venue.
La mère d'Emilie, étonnée au début, se sentit plus soulagée.
- D'accord, veuillez entrez. Vous venez interroger Kevin ? Il se trouve dans le chambre d'Emilie.

La mère d'Emilie mena notre agent jusqu'à la chambre d'Emilie qui se trouva au premier étage à fond à gauche.
La vieille dame toqua à la porte de signaler au jeune homme qu'elle va ouvrir la porte. Il n'y eu aucune réponse. Mulder prit la relève et ouvra la porte, avec une certaine vigilance.

- Oh non ! Mais qu'est ce que... ? !
Les deux personnes vit Kevin en train de taper sa ête contre le mur à plusieurs reprises et répétant sans cesse cette phrase : " Cela n'a pas existé, cela n'a pas existé.... "

Cela n'intimidait pas Mulder qui, selon ses hypothèses avait anticipé cette réaction pour le moins mystérieuse.
Il se dirigea d'un pas lourd vers Kevin qui continuait à martyriser sa tête déjà complètement meurtrie par le mur en ciment.
Et c'est à la façon d'un psychologue que Mulder le questionna :

"Qu'est-ce qui selon vous n'a jamais existé ? soyez tranquille et serein je ne vous veux que du bien. Etait-il diforme ?
-mais qui donc ? se retourne brusquement Kevin d'un air abasourdi...
euh... mais... je ne vois pas de quoi vous voulez parler... je vous assure."

Tout son corps se mit à trembler comme s'il était enclin à une crise de tétanie, et c'est alors que...
Ce que Mulder apréhendait le plus arriva !

"ha ha... aidez-moi pitié... hahaha...
-Kevin, Kevinnn..."

- Aidez moi à le maîtriser ! s'exclama Mulder auprès de la vieille dame qui s'executa sans broncher.

Mulder prit les pieds, la dame le front tout transpirant et les appuya contre le sol pour éviter que Kévin ne se fasse du mal.

Notre agent sentit à travers à quel point ce jeune homme était intérieurement très agité par une force qui échappé au contrôle du gamin. Après un bref passage de crise très virulent, le jeune homme s'allongea, sur le lit, les yeux plein d'innocence sans vraiment comprendre ce qui lui arrive.

- Bonjour, je suis l'agent Fox Mulder du FBI, envoyé ici car je suis spécialisé en ce domaine. J'aimerai te poser quelques questions...

- Qu'y a -t-il a dire ? Mes deux amis sont morts assasinés ! Vous les policiers n'est bon qu'a remplir des constats de décès ! Laissez moi !

Mulder regarda un instant le jeune homme.

- Très bien. Seulement tu seras toujours dans le doute quant aux circonstances de la mort de tes amis. Cela pourra te tarauder jusqu'à la fin de tes jours, ou bien tu m'aides à retrouver le coupable de cet horreur. Je suis là pour ça.

Kévin réfléchissa sur les mots de notre agent, resta silencieux un moment !

- Bon, je suis prêt à répondre à vos questions. Allez-y.

- Alors, Que......

Le portable de Mulder sonna. Celui-ci fit un geste au jeune homme pour lui pardonner de petit contre temps et s'éloigna pour être plus tranquil.

- Mulder j'écoute

- C'est moi Dana ! Ecoute, j'ai examen les tissus de peau. Ce sont bien celui de la peau humaine, et ceux de nos victimes.

- Comment explique tu l'état de vide intérieur complet ?

- Justement je ne sais pas. Tout les organes internes se sont volatilisé comme par magie.

- Tu penses que David Copperfield y est pour quelque chose ?

- si ce dernier a les poils ou chevelure très longs. J'ai trouvé un poil à l'intérieur d'un des cadavres. Je l'ai examiné et écoute bien : les tests ADN révèle qu'il ne s'agit de celui d'un humain ou d'un animal. Ses chromosomes sont inconnues.